Selon
une étude de l'Inserm sur des souris transgéniques, l'obésité
aggraverait les lésions cérébrales dans la maladie d'Alzheimer,
renforçant l'idée que les anomalies métaboliques pourraient jouer un
rôle dans le développement des démences.
Source sur TF1 News : Maladie d'Alzheimer : l'obésité aggraverait les risques
Selon
une étude de l'Inserm sur des souris transgéniques, l'obésité
aggraverait les lésions cérébrales dans la maladie d'Alzheimer,
renforçant l'idée que les anomalies métaboliques pourraient jouer un
rôle dans le développement des démences.
L'obésité aggraverait les lésions associées à la maladie d'Alzheimer, selon une étude rendue publique lundi par l'Institut national de la santé
et de la recherche médicale (Inserm). Selon l'étude réalisée par des
chercheurs de l'Inserm (Unité U837) et de l'Université Lille2/Université
Lille Nord sur des souris transgéniques, l'obésité aggraverait les
déficits cognitifs et les lésions cérébrales dans la maladie
d'Alzheimer.
Ces travaux, publiés récemment dans
la revue Diabetes, renforcent l'idée que les anomalies métaboliques
pourraient jouer un rôle dans le développement des démences, relève
David Blum, chargé de recherche à l'Inserm qui a dirigé cette étude. La
maladie d'Alzheimer et les maladies apparentées touchent plus de 860.000
personnes en France et représentent la première cause de la perte des
fonctions intellectuelles liées à l'âge.
Une pathologie aggravée
Les altérations cognitives observées sont le
résultat de deux types de lésions, les "plaques" amyloïdes à l'extérieur
des neurones et l'accumulation de protéines Tau anormales à l'intérieur
des neurones. Mais alors qu'on savait déjà que l'obésité jouait un rôle
dans la formation des plaques amyloïdes, son impact sur l'accumulation
de protéines Tau anormales dans les neurones n'était pas clairement
élucidé.
Les chercheurs de l'équipe du Dr Luc
Buée ont utilisé des souris transgéniques conçues pour développer
progressivement avec l'âge une dégénérescence du cerveau liée aux
protéines Tau. Pendant cinq mois, les souris ont reçu un régime riche en
graisse, induisant une obésité progressive. "A l'issue du régime, les
souris obèses ont développé une pathologie aggravée tant du point de vue
de la mémoire que des modifications de la protéine Tau", relève David
Blum. Les chercheurs travaillent désormais sur l'identification des
facteurs responsables de cette aggravation.
Des
essais thérapeutiques en phase finale (phase 3) portant sur des
molécules censées combattre les plaques séniles se sont récemment
heurtés à des échecs. "Agir sur les lésions associées à la protéine Tau
pourraient être une alternative ou une approche complémentaire. Des
travaux sont réalisés en ce sens dans notre laboratoire", note David
Blum. De ce fait, ajoute-t-il, "identifier les facteurs aggravant les
lésions associées à la protéine Tau pourrait conduire à des pistes
thérapeutiques intéressantes".
Source sur TF1 News : Maladie d'Alzheimer : l'obésité aggraverait les risques
L'obésité aggraverait les lésions associées à la maladie d'Alzheimer, selon une étude rendue publique lundi par l'Institut national de la santé
et de la recherche médicale (Inserm). Selon l'étude réalisée par des
chercheurs de l'Inserm (Unité U837) et de l'Université Lille2/Université
Lille Nord sur des souris transgéniques, l'obésité aggraverait les
déficits cognitifs et les lésions cérébrales dans la maladie
d'Alzheimer.
Ces travaux, publiés récemment dans
la revue Diabetes, renforcent l'idée que les anomalies métaboliques
pourraient jouer un rôle dans le développement des démences, relève
David Blum, chargé de recherche à l'Inserm qui a dirigé cette étude. La
maladie d'Alzheimer et les maladies apparentées touchent plus de 860.000
personnes en France et représentent la première cause de la perte des
fonctions intellectuelles liées à l'âge.
Une pathologie aggravée
Les altérations cognitives observées sont le
résultat de deux types de lésions, les "plaques" amyloïdes à l'extérieur
des neurones et l'accumulation de protéines Tau anormales à l'intérieur
des neurones. Mais alors qu'on savait déjà que l'obésité jouait un rôle
dans la formation des plaques amyloïdes, son impact sur l'accumulation
de protéines Tau anormales dans les neurones n'était pas clairement
élucidé.
Les chercheurs de l'équipe du Dr Luc
Buée ont utilisé des souris transgéniques conçues pour développer
progressivement avec l'âge une dégénérescence du cerveau liée aux
protéines Tau. Pendant cinq mois, les souris ont reçu un régime riche en
graisse, induisant une obésité progressive. "A l'issue du régime, les
souris obèses ont développé une pathologie aggravée tant du point de vue
de la mémoire que des modifications de la protéine Tau", relève David
Blum. Les chercheurs travaillent désormais sur l'identification des
facteurs responsables de cette aggravation.
Des
essais thérapeutiques en phase finale (phase 3) portant sur des
molécules censées combattre les plaques séniles se sont récemment
heurtés à des échecs. "Agir sur les lésions associées à la protéine Tau
pourraient être une alternative ou une approche complémentaire. Des
travaux sont réalisés en ce sens dans notre laboratoire", note David
Blum. De ce fait, ajoute-t-il, "identifier les facteurs aggravant les
lésions associées à la protéine Tau pourrait conduire à des pistes
thérapeutiques intéressantes".
Source sur TF1 News : Maladie d'Alzheimer : l'obésité aggraverait les risques
Selon
une étude de l'Inserm sur des souris transgéniques, l'obésité
aggraverait les lésions cérébrales dans la maladie d'Alzheimer,
renforçant l'idée que les anomalies métaboliques pourraient jouer un
rôle dans le développement des démences.
Source sur TF1 News : Maladie d'Alzheimer : l'obésité aggraverait les risques
L'obésité aggraverait les lésions associées à la maladie d'Alzheimer, selon une étude rendue publique lundi par l'Institut national de la santé
et de la recherche médicale (Inserm). Selon l'étude réalisée par des
chercheurs de l'Inserm (Unité U837) et de l'Université Lille2/Université
Lille Nord sur des souris transgéniques, l'obésité aggraverait les
déficits cognitifs et les lésions cérébrales dans la maladie
d'Alzheimer.
Ces travaux, publiés récemment dans
la revue Diabetes, renforcent l'idée que les anomalies métaboliques
pourraient jouer un rôle dans le développement des démences, relève
David Blum, chargé de recherche à l'Inserm qui a dirigé cette étude. La
maladie d'Alzheimer et les maladies apparentées touchent plus de 860.000
personnes en France et représentent la première cause de la perte des
fonctions intellectuelles liées à l'âge.
Une pathologie aggravée
Les altérations cognitives observées sont le
résultat de deux types de lésions, les "plaques" amyloïdes à l'extérieur
des neurones et l'accumulation de protéines Tau anormales à l'intérieur
des neurones. Mais alors qu'on savait déjà que l'obésité jouait un rôle
dans la formation des plaques amyloïdes, son impact sur l'accumulation
de protéines Tau anormales dans les neurones n'était pas clairement
élucidé.
Les chercheurs de l'équipe du Dr Luc
Buée ont utilisé des souris transgéniques conçues pour développer
progressivement avec l'âge une dégénérescence du cerveau liée aux
protéines Tau. Pendant cinq mois, les souris ont reçu un régime riche en
graisse, induisant une obésité progressive. "A l'issue du régime, les
souris obèses ont développé une pathologie aggravée tant du point de vue
de la mémoire que des modifications de la protéine Tau", relève David
Blum. Les chercheurs travaillent désormais sur l'identification des
facteurs responsables de cette aggravation.
Des
essais thérapeutiques en phase finale (phase 3) portant sur des
molécules censées combattre les plaques séniles se sont récemment
heurtés à des échecs. "Agir sur les lésions associées à la protéine Tau
pourraient être une alternative ou une approche complémentaire. Des
travaux sont réalisés en ce sens dans notre laboratoire", note David
Blum. De ce fait, ajoute-t-il, "identifier les facteurs aggravant les
lésions associées à la protéine Tau pourrait conduire à des pistes
thérapeutiques intéressantes".
Source sur TF1 News : Maladie d'Alzheimer : l'obésité aggraverait les risques
Selon
une étude de l'Inserm sur des souris transgéniques, l'obésité
aggraverait les lésions cérébrales dans la maladie d'Alzheimer,
renforçant l'idée que les anomalies métaboliques pourraient jouer un
rôle dans le développement des démences.
Source sur TF1 News : Maladie d'Alzheimer : l'obésité aggraverait les risques
L'obésité aggraverait les lésions associées à la maladie d'Alzheimer, selon une étude rendue publique lundi par l'Institut national de la santé
et de la recherche médicale (Inserm). Selon l'étude réalisée par des
chercheurs de l'Inserm (Unité U837) et de l'Université Lille2/Université
Lille Nord sur des souris transgéniques, l'obésité aggraverait les
déficits cognitifs et les lésions cérébrales dans la maladie
d'Alzheimer.
Ces travaux, publiés récemment dans
la revue Diabetes, renforcent l'idée que les anomalies métaboliques
pourraient jouer un rôle dans le développement des démences, relève
David Blum, chargé de recherche à l'Inserm qui a dirigé cette étude. La
maladie d'Alzheimer et les maladies apparentées touchent plus de 860.000
personnes en France et représentent la première cause de la perte des
fonctions intellectuelles liées à l'âge.
Une pathologie aggravée
Les altérations cognitives observées sont le
résultat de deux types de lésions, les "plaques" amyloïdes à l'extérieur
des neurones et l'accumulation de protéines Tau anormales à l'intérieur
des neurones. Mais alors qu'on savait déjà que l'obésité jouait un rôle
dans la formation des plaques amyloïdes, son impact sur l'accumulation
de protéines Tau anormales dans les neurones n'était pas clairement
élucidé.
Les chercheurs de l'équipe du Dr Luc
Buée ont utilisé des souris transgéniques conçues pour développer
progressivement avec l'âge une dégénérescence du cerveau liée aux
protéines Tau. Pendant cinq mois, les souris ont reçu un régime riche en
graisse, induisant une obésité progressive. "A l'issue du régime, les
souris obèses ont développé une pathologie aggravée tant du point de vue
de la mémoire que des modifications de la protéine Tau", relève David
Blum. Les chercheurs travaillent désormais sur l'identification des
facteurs responsables de cette aggravation.
Des
essais thérapeutiques en phase finale (phase 3) portant sur des
molécules censées combattre les plaques séniles se sont récemment
heurtés à des échecs. "Agir sur les lésions associées à la protéine Tau
pourraient être une alternative ou une approche complémentaire. Des
travaux sont réalisés en ce sens dans notre laboratoire", note David
Blum. De ce fait, ajoute-t-il, "identifier les facteurs aggravant les
lésions associées à la protéine Tau pourrait conduire à des pistes
thérapeutiques intéressantes".
Source sur TF1 News : Maladie d'Alzheimer : l'obésité aggraverait les risques
Selon
une étude de l'Inserm sur des souris transgéniques, l'obésité
aggraverait les lésions cérébrales dans la maladie d'Alzheimer,
renforçant l'idée que les anomalies métaboliques pourraient jouer un
rôle dans le développement des démences.
Source sur TF1 News : Maladie d'Alzheimer : l'obésité aggraverait les risques
L'obésité aggraverait les lésions associées à la maladie d'Alzheimer, selon une étude rendue publique lundi par l'Institut national de la santé
et de la recherche médicale (Inserm). Selon l'étude réalisée par des
chercheurs de l'Inserm (Unité U837) et de l'Université Lille2/Université
Lille Nord sur des souris transgéniques, l'obésité aggraverait les
déficits cognitifs et les lésions cérébrales dans la maladie
d'Alzheimer.
Ces travaux, publiés récemment dans
la revue Diabetes, renforcent l'idée que les anomalies métaboliques
pourraient jouer un rôle dans le développement des démences, relève
David Blum, chargé de recherche à l'Inserm qui a dirigé cette étude. La
maladie d'Alzheimer et les maladies apparentées touchent plus de 860.000
personnes en France et représentent la première cause de la perte des
fonctions intellectuelles liées à l'âge.
Une pathologie aggravée
Les altérations cognitives observées sont le
résultat de deux types de lésions, les "plaques" amyloïdes à l'extérieur
des neurones et l'accumulation de protéines Tau anormales à l'intérieur
des neurones. Mais alors qu'on savait déjà que l'obésité jouait un rôle
dans la formation des plaques amyloïdes, son impact sur l'accumulation
de protéines Tau anormales dans les neurones n'était pas clairement
élucidé.
Les chercheurs de l'équipe du Dr Luc
Buée ont utilisé des souris transgéniques conçues pour développer
progressivement avec l'âge une dégénérescence du cerveau liée aux
protéines Tau. Pendant cinq mois, les souris ont reçu un régime riche en
graisse, induisant une obésité progressive. "A l'issue du régime, les
souris obèses ont développé une pathologie aggravée tant du point de vue
de la mémoire que des modifications de la protéine Tau", relève David
Blum. Les chercheurs travaillent désormais sur l'identification des
facteurs responsables de cette aggravation.
Des
essais thérapeutiques en phase finale (phase 3) portant sur des
molécules censées combattre les plaques séniles se sont récemment
heurtés à des échecs. "Agir sur les lésions associées à la protéine Tau
pourraient être une alternative ou une approche complémentaire. Des
travaux sont réalisés en ce sens dans notre laboratoire", note David
Blum. De ce fait, ajoute-t-il, "identifier les facteurs aggravant les
lésions associées à la protéine Tau pourrait conduire à des pistes
thérapeutiques intéressantes".
Source sur TF1 News : Maladie d'Alzheimer : l'obésité aggraverait les risques
Selon
une étude de l'Inserm sur des souris transgéniques, l'obésité
aggraverait les lésions cérébrales dans la maladie d'Alzheimer,
renforçant l'idée que les anomalies métaboliques pourraient jouer un
rôle dans le développement des démences.
Source sur TF1 News : Maladie d'Alzheimer : l'obésité aggraverait les risques
L'obésité aggraverait les lésions associées à la maladie d'Alzheimer, selon une étude rendue publique lundi par l'Institut national de la santé
et de la recherche médicale (Inserm). Selon l'étude réalisée par des
chercheurs de l'Inserm (Unité U837) et de l'Université Lille2/Université
Lille Nord sur des souris transgéniques, l'obésité aggraverait les
déficits cognitifs et les lésions cérébrales dans la maladie
d'Alzheimer.
Ces travaux, publiés récemment dans
la revue Diabetes, renforcent l'idée que les anomalies métaboliques
pourraient jouer un rôle dans le développement des démences, relève
David Blum, chargé de recherche à l'Inserm qui a dirigé cette étude. La
maladie d'Alzheimer et les maladies apparentées touchent plus de 860.000
personnes en France et représentent la première cause de la perte des
fonctions intellectuelles liées à l'âge.
Une pathologie aggravée
Les altérations cognitives observées sont le
résultat de deux types de lésions, les "plaques" amyloïdes à l'extérieur
des neurones et l'accumulation de protéines Tau anormales à l'intérieur
des neurones. Mais alors qu'on savait déjà que l'obésité jouait un rôle
dans la formation des plaques amyloïdes, son impact sur l'accumulation
de protéines Tau anormales dans les neurones n'était pas clairement
élucidé.
Les chercheurs de l'équipe du Dr Luc
Buée ont utilisé des souris transgéniques conçues pour développer
progressivement avec l'âge une dégénérescence du cerveau liée aux
protéines Tau. Pendant cinq mois, les souris ont reçu un régime riche en
graisse, induisant une obésité progressive. "A l'issue du régime, les
souris obèses ont développé une pathologie aggravée tant du point de vue
de la mémoire que des modifications de la protéine Tau", relève David
Blum. Les chercheurs travaillent désormais sur l'identification des
facteurs responsables de cette aggravation.
Des
essais thérapeutiques en phase finale (phase 3) portant sur des
molécules censées combattre les plaques séniles se sont récemment
heurtés à des échecs. "Agir sur les lésions associées à la protéine Tau
pourraient être une alternative ou une approche complémentaire. Des
travaux sont réalisés en ce sens dans notre laboratoire", note David
Blum. De ce fait, ajoute-t-il, "identifier les facteurs aggravant les
lésions associées à la protéine Tau pourrait conduire à des pistes
thérapeutiques intéressantes".
Source sur TF1 News : Maladie d'Alzheimer : l'obésité aggraverait les risques
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